[…] “C’est l’un des plus grands scandales finaciers de l’après-guerre. Une famille française a été spoliée d’un bien abusivement confisqué.” S‘enflamme Me Christophe Ayela, qui, le 21 Mai, a introduit un recours auprès du tribunal de Paris afin que l’agent judiciaire de l’Etat règles les 174,3 millions dus aux fils de Suzanne Kenny-Martinez décédée en Janvier dernier.
Cette fois plus question de tergiverser, la décision a été entérinée le 10 Novembre par la justice française, […]
(article complet à lire sur le Canard Enchaîné).